Eliott Penwith -Shepherdson : l’homme de Cornouailles (P.J.)

Son père, Hugues Tracy-Tempel of Shepherdson est le fils cadet  d’une des plus vieilles familles de la noblesse de Cornouaille. A la naissance d’Eliott en 1899, il est responsable de la régie de l’opium pour le gouverneur des Indes.  Tracy restera en Inde jusqu’en 1911. 
 En effet la même année, son oncle  est retrouvé mort au pied du mégalithe de Mên-an-Tol.
La mort du 17eme Lord de Sheperdson

 Son père devient alors le 18eme seigneur de Sheperdson et retourne en Angleterre afin de gérer le domaine familial en déshérence. Eliot, scolarisé en internat, a du mal à s’adapter à la rigueur du climat et à la discipline toute britannique de son collège de Plymouth. En 1915, lors de congés, il aide les ouvriers de son père qui réhabilitent l’aile ancienne du château familial. Il découvre dans l’ancien bureau de son Oncle un courrier suggérant l’existence de divinités anciennes et occultes et évoquant le mégalithe  de Mên-an-Tol,  comme une porte ouverte vers d’autres dimensions.  Profondément perturbé par cette lecture, il s’efforce de se documenter auprès des bibliothèques locales mais quasiment en vain.

Sentant son fils profondément perturbé par cette découverte, son père l’éloigne de la Cornouaille et lui obtient une place dans le renommé collège d’Eton où il côtoie la fine fleur de la jeunesse anglaise. Il se passionne alors pour les langues anciennes et disparues et poursuit ses études à Oxford.Remarqué pour ses talents de linguiste  par le célèbre Archéologue Campell-Johntson, il traduit pour lui une partie des tablettes de Ninive (Irak actuel). De retour après un séjour de plus de 6 mois en Mésopotamie il est chargé de travaux dirigés en langue cunéiforme au département des langues orientales d’Oxford.
 Dans le cadre d’un jumelage entre l’université d’Arkham et Oxford, il part en 1924 pour la célèbre université du Massachusetts pour enseigner l’akkadien et l’assyrien. Il compte en apprendre un peu plus sur certains pictogrammes indiens de la région du Vermont qui ressemblent étrangement à certains signes retrouvés sur le site de Mên-an-Tol…

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