Deuxième séquence (2) : vers les ombres…(24 septembre 1924)

Dures journées pour nos amis : « le Cottage » a été vandalisé, et le mystérieux livre qu’Elioth s’évertuait à transcrire et à décrypter a disparu ! Ils ont la certitude d’être constamment épiés, et Gontran a été sauvagement molesté dans un couloir du mémorial Robert Carter, alors qu’il venait de donner un brillant cours sur la trempabilité et la conservation des propriétés mécaniques de l’acier appliquées aux constructions aériennes.

Suite à ces agressions, la fine équipe du Cottage appecartemedecinlle à l’aide un ami, le richissime Richard Cardignan, qui fait venir à Arkham, un homme de main à la présence « rassurante » : Morgen Stehl.

Tous les indices concordent et conduisent nos protagonistes à l’institut Brampton : la disparition de James Fowler, d’étranges individus rôdant… La maison en question semble avoir été détruite puis reconstruite plusieurs fois. Un soir de l’année 1904, il y a 20 de cela, les anciens propriétaires, M. et Mme Barnard, y ont été massacré. C’était il y a 20 ans pile, à un jour près.

C’est la rencontre avec un certain Duncan Monford, patient à l’Asile D’Arkham et ancien bénévole à l’Institut Brampton qui les éclaire sur ces faits anciens. Le pauvre homme semble encore aujourd’hui traumatisé parce qu’il a entendu à l’Institut.

Après une balade nocturne aux abords de la ceinture murée de l’institut, Willem Kent et David Galway perçoivent des cris gutturaux accompagnés de hennissements effrayants. Ils découvrent un passage souterrain menant à l’Institut.

Ils reviennent le lendemain en force, avec l’ensemble du groupe. Il ne manque que Morgen Stehl, garde du corps de Cardignan, qui ne donne plus de signe de vie après être allé faire une ronde autour de l’Institut.

A la sortie du tunnel, dans les sous-sols de l’institut, une cérémonie païenne semble sur le point de s’achever. Nos amis ne savent pas encore qu’il s’agit d’un rituel de protection pour empêcher certains esprits malveillants de venir hanter la maison Brampton et Arkham. Ce petit groupe de fidèles, « La fraternité », est composé d’hommes bienveillants ayant croisé un jour la trace du mythe. Ils s’apprêtent à sauver Arkham !

Mais nos amis ignorent totalement cette réalité et les prennent pour des malades sanguinaires ayant enlevé James Fowler et s’apprêtant à le sacrifier à des divinités innommables !

Qui a tiré le premier ? Va savoir Charles ! Une fusillade déchaînée entraîne le décès du colonel James Nichols, le plus âgé des membres de la fraternité. Deux autres membres, Laura Smith et Nathan Goldberg, seront légèrement blessés dans la confusion comme l’a été Willem Kent.

Après bien des hésitations, nos amis perçoivent leurs erreurs et la discussion s’engage pendant qu’une partie des blessés est rapatriée dans les chambres de l’institut.

Oswald Brampton semble très inquiet. L’interruption du rituel issu d’une transcription du liber Lacrimae, risque d’avoir libéré des entités maléfiques sur le monde.

Et effectivement une ombre semble avoir enlevé le petit Stephen Abbot, gentil garçon de 5 ans que nos amis avaientt croisé lors de leurs investigations autour de l’Institut.

Une seule solution d’après Oswald Brampton : aller chercher le garçon dans le pays des ombres…

N’écoutant que leur prudence, nos amis refusent sauf Gontran et David qui n’écoutant que leur courage et peut-être une certaine curiosité n’hésitent pas à franchir un véritable Vortex qui les conduit de l’autre côté de la cave… mais ceci est une autre histoire…

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